Religion, Philosophy,
and the Question of a Clash of Cultures
Concordia University, Montreal – May 31 – June 1, 2010
Sponsored by the Canadian Jacques Maritain Association / l'association
canadienne Jacques-Maritain, under aegis of the
Congress of the
Humanities and Social Sciences / Le Congrès des
sciences humaines,
Canada
Even the
most casual survey of political and social events reveals a variety of
confrontations, disagreements, misunderstandings, lacks of mutual
comprehension, and changing viewpoints. Within many countries, but also
on the international level, one finds major debates between fundamentalisms and
reform, religion and secularism, the wealthy and the dispossessed, the first
world and the developing world, the urban and the rural, the young and the old,
and so on. Recently, particular attention has been given to how religion – at
least in the sense that which expresses one’s ultimate commitments – is part
of, or is drawn into, such debates.
Some have described these phenomena as ‘cultural clashes’ – that they
are not mere disagreements or differences of opinion over policies and
practices. Thus, in many countries of western Europe and in North
America, but also beyond, one sees a clash of immigrant groups with established
communities; in countries of the Middle East and Asia, there are clashes
between secular authorities and
religious groups – and sometimes among
and within religious groups themselves – Hindu, Muslim, and Christian; Shi’a and Sunni, Catholic and Protestant; in the United
States, we see the phenomenon of ‘red’ states and ‘blue’ states – not
infrequently reflecting clashes between the urban and rural, the ‘north’ and
the ‘south’, and pro-life and pro-choice. There are also clashes within ideologies
and practices, such as that in business between the common good and the demands
of the market
These phenomena invite philosophers and scholars in cognate disciplines
to examine not just the phenomena themselves but the underlying issues. What is
it to speak of a clash and, particularly, a ‘clash of cultures’? Are the
preceding phenomena instances of ‘clashes of cultures’? What is, or has been,
the place of religion and philosophy in such clashes
and in addressing such clashes? And how might one respond to such
clashes – through attempting to dissolve the clash? To absorb
one or more of the parties? Or to find ways of tolerating
clash? For example, some have argued that, to respond, the groups or
individuals involved need to seek common ground – appealing either to a ground
‘embedded’ in all cultures and ways of life, or by creating a common space.
Others have suggested that there needs to be a national or international
authority (e.g., the state or an international body or tribunal) that would
regulate or would help (or force) groups to negotiate with one another. Yet
another option has been to turn to comprehensive world views or religions as a
source of meaning but also of resolution of conflict. And there are other possibilities
besides.
The purpose of this conference is to investigate and review some of
the underlying issues here, to see what responses have or might be appealed to
in order to address what have been called ‘clashes of cultures’, but also to
see what problems have and may arise in attempting to address these questions.
Specific questions that may be addressed here are, then: Is clash a characteristic of cultural (but not local or
individual) conflict? Are there or can there be universal truths, and do they
take priority over ideological and religious claims, beliefs, and practices? Is
there any particular method that can be drawn on, to address putative clashes
of culture?
Même l'enquête la plus désinvolte d'événements
politiques et sociaux révèle un assortiment de conflits, un assortiment de
désaccords, un assortiment de malentendus, un assortiment de manques de
compréhension mutuelle, et les changements de points de vues.
Dans beaucoup de pays, mais aussi sur le niveau international, l'un trouve des
débats majeurs entre les fondamentalismes et la réforme, la religion et le
laïcisme, le riche et le dépossédé, le premier monde et le monde en développement,
l'urbain et le rural, les jeunes et les vieux, et ainsi de suite. Récemment,
l'attention particulière a été donnée à comment la religion – au moins dans le
sens qui exprime un engagement ultimes – fait partie de, ou est dessiné dans,
tels débats.
Quelques-uns
ont décrit ces phénomènes comme ‹ les conflits culturels › – qu'ils ne sont pas
de simples désaccord ou les différences d'opinion sur les politiques et les
pratiques. Ainsi, dans beaucoup de pays d'Europe de l'Ouest et en Amérique du
Nord, mais aussi au-delà, l'un voit un conflit de groupes d'immigrant avec les
communautés confirmées ; dans les pays du Moyen-orient
et d'Asie, il y a des conflits entre les autorités séculiers et les groupes
religieux – et quelquefois parmi dans les groupes religieux se –hindou,
musulman, chrétien, sunnite, catholique et protestant. Aux Etats-Unis,
nous voyons le phénomène des états rouges et des états bleu et que ceux-ce ne reflétant pas rarement des conflits entre
l'urbain et le rural, le « nord » et le « sud », et la pro-vie et le pro-choix.
Il y a aussi des conflits dans les idéologies et les pratiques, comme dans les
affaires entre l'intérêt général et les demandes du marché.
Ces
phénomènes invitent des philosophes et des érudits dans les disciplines analogues
pour ne pas juste examiner les phénomènes mais aussi les problèmes
fondamentaux. Le quel est pour parler d'un conflit et, notamment, ‹ le conflit
de cultures › ? Sont les exemples précédents de phénomènes de ‹ les conflits de
cultures › ? Où a été, le lieu de la
religion et de la philosophie dans tels conflits? Comment l'un pourrait-il
répondre à tels conflits – par tenter de dissoudre le conflit ? Pour absorber
un ou plus des partis ? Ou trouver des façons de tolérer le conflit ? Par
exemple, certaines personnes se sont disputés pour
cela. Les groupes ou les individus ont le besoin d'impliqué et de
chercher le point commun. Faisant appel à un sol « enfoncé » dans toutes
cultures et tous modes de vie, en créant un espace commun. D'autres ont suggéré
que c'est un besoins d'être une autorité nationale ou internationale (par
exemple, l'état ou une structure internationale ou un tribunal) cela
réglementerait ou aiderait (ou la force) les groupes pour négocier avec l'un
l'autre. Pourtant une autre option a été de tourner aux vues ou aux religions
mondiales complètes comme une source de sens mais aussi de résolution de
conflit. Et il y a d'autres possibilités en plus.
Le but de
cette conférence est d'examiner et réexaminer certains des problèmes
fondamentaux ici, voir quelles réponses ont ou pourraient être faites appel
pour adresser ce qu'a été appelé ‹ les conflits de cultures ›, mais aussi voir
quels problèmes peut présenter. Les questions spécifiques qui pourrait être
adressé : Le conflit est-il une caractéristique de culturel (mais pas local ou
individuel) le conflit ? Il y a ou il peut y avoir des vérités universelles, et
ils prennent la priorité sur les réclamations idéologiques et religieuses, les
convictions, et les pratiques ? Il y a la méthode particulière que peut être
dessiné sur, adresser des conflits putatifs de culture ?